La situation des étrangers en France s’est considérablement dégradée
depuis 5 ou 6 ans.
Que faire
pour éviter que des jeunes, avec ou sans leur famille, soient renvoyés contre
leur gré dans leur pays d’origine (qui en général ne veut pas d’eux), ou se
retrouvent à la rue, à la merci de tous les trafiquants ?
Le droit à l’éducation est un élément important de la Convention
Internationale des Droits de l’Enfant (convention introduite en droit français)
Ø
Veiller à ce que tout-e jeune étranger/ère,
majeur-e ou mineur-e, avec ou sans réussite à l’examen préparé, ait une inscription pour l’année suivante (école,
collège, en Lycée, apprentissage, BTS etc….).Toujours rester discret, les
directions peuvent subir des pressions.
Mineurs
isolés : étrangers ou pas, ils ont les mêmes droits. Ils sont
obligatoirement pris en charge par l’Aide Sociale à l’Enfance. Mais
l’administration conteste leur minorité.


Arrêté préfectoral portant obligation de quitter le
territoire français (OQTF ) . Il peut être contesté
en justice, au tribunal administratif, avec aide juridictionnelle (frais
d’avocats payés par l’état).

Ø Contacter
rapidement un avocat compétent en droit des étrangers, si ce n’est déjà fait.
Convocation ou rendez-vous en préfecture ou Commissariat.

Ø S’assurer
de l’objet de la convocation, et des risques, au besoin en consultant un
avocat.
Demandeurs d’asile. Ils relèvent d’un
droit particulier.
Ø Les
adresser à « L’Abri de la Providence » association chargée de
l’accueil. (délégation de service public)

En cas d’urgence ou
pour de plus amples informations, contacter les secrétaires des SDEN, ou
Françoise Bellayer RESF 72 au 0243885462 (répondeur, laisser un message)
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